Je viens de lire tout à fait par hasard, avec consternation et profonde tristesse, la nouvelle du décès de Yves Bertrand que j’ai connu il y a plusieurs années de cela, du temps de nos années collège.
En effet, je suis un ami de longue date de son frère aîné Guy qui, aux dernières nouvelles, se trouverait du côté de Montréal au Canada.
J’ai également été en contact avec toi, Yves Bertrand, dans les années 2000 ici en France, l’instant de 2 ou 3 coups de fil et je regrette aujourd’hui qu’on ait jamais eu le temps de se revoir.
Bien évidemment, je n’ai pas eu l’occasion de voir l’adulte que tu étais devenu, au delà de quelques nouvelles d’ordre professionnel pendant un court instant, puisque nous exercions dans le même domaine. Cependant je retiens ce que j’ai connu de toi dans notre tendre enfance, les qualités qui étaient les tiennes, celles du respect des rapports aux autres, ton humilité, ta grande facilité de compréhension, ton intelligence hors norme, car tu étais très brillant durant tout ton cursus scolaire, et nul doute d’imaginer ce que ça a été dans ton cursus universitaire.
C’est avec les larmes aux yeux que j’adresse à ta famille, ton épouse et tes enfants, ainsi qu’à tes frères et sœurs (que j’ai également connus, Gabin et Yvette (il me semble) la cadette), toutes mes condoléances les plus attristées.
Je précise également que j’ai très bien connu les parents aussi Papa Clément et Maman Julienne.